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Vintage time

IEL pour la boutique Dealeuse de chiffons

Ce projet est né d'une envie de repousser mes limites et de fournir mon portfolio de projets. Alors un soir, j'ai eu l'idée de trouver une boutique pour réaliser un partenariat dans le but d'offrir plus de visibilité. Pour ma part, cela représentait une opportunité de tester la photographie et la vidéo qui me passionnent tant. Dealeuse de chiffons m'a alors fait confiance et a laissé cours à ma créativité.

 

Merci encore pour votre confiance !

La jeunesse

Production par IEL

Ce projet a été créé pour un concours photographique organisé par l'université de Jean-Monnet. J'ai voulu représenter la jeunesse dans un milieu festif où règne différentes ambiances selon notre point de vue. Pour certains, on ressent la solitude, d'autres un besoin d'excès, ou encore de l'hypocrisie, de l'extravagance, de l'amitié... Les photos sont alors des mises en scène des effets de l'alcool et de la drogue.

 

Merci encore aux personnes présentes sur ce projet.

Sweet moments

Production par IEL

Cette série a été créée durant le confinement pour un cours photographique à l'université Jean-Monnet . On devait représenter notre confinement. J'ai alors représenté mon quotidien avec mes proches. Le but est qu'on ressente la douceur, l'amour et l'authenticité de ma famille.

 

La famille a toujours été un thème important dans mes projets. Ce sont les personnes qu'on ne choisit pas mais qui seront toujours là pour être honnête avec vous. Il y a parfois des tensions, des moments difficiles mais ces photos représentent surtout nos retrouvailles.

 

Merci à ma famille pour tout.

Pécuconfinement

Production par IEL

Cette série est un triptyque. Ces photographies sont né de contraintes que je me suis auto-imposé sur le thème du déconfinement : le retour à la normalité. Pour cette thématique, je me suis inspirée de l'actualité du premier confinement, lorsque étrangement la population s'est mis à paniquer en achetant tous les papiers toilettes du marché. Je voulais imaginer une personne qui reprendrait sa vie "normale" avec des tocs causés par le confinement. On suggère que la personne continue de toujours garder son masque malgré la fin de l'épidémie, le soleil ayant provoqué des marques de bronzage, causant l'imprégnation de la marque du masque sur son corps. La peur du manque est illustrée avec le papier toilette quant à la prise de conscience face à cette montagne de futilité est représenté par ces scènes insolites.

Le style m'a été inspiré par le couple d'artistes Pierre et Gilles.

 

Merci au modèle Andréa Mamessier

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